
La place de Jaude, cœur battant de Clermont-Ferrand, abrite deux monuments emblématiques : l’Opéra-Théâtre et la statue équestre de Vercingétorix.
L’Opéra-Théâtre de Clermont-Ferrand
Situé sur le boulevard Desaix, à proximité immédiate de la place de Jaude, l’Opéra-Théâtre est un édifice remarquable de style néo-classique. Construit entre 1891 et 1894 sous la direction de l’architecte Jean Teillard, il a été érigé à l’emplacement de l’ancienne halle aux toiles. La façade côté place est ornée d’une horloge monumentale et de cariatides, tandis que l’intérieur présente une salle en fer à cheval inspirée de l’Opéra Garnier de Paris, pouvant accueillir environ 600 spectateurs
La statue équestre de Vercingétorix
Dominant la partie nord de la place de Jaude, la statue de Vercingétorix est une œuvre majeure du sculpteur Frédéric Auguste Bartholdi, également connu pour la Statue de la Liberté. Inaugurée le 12 octobre 1903, elle rend hommage au chef gaulois des Arvernes, victorieux à Gergovie en 52 av. J.-C. La statue en bronze représente Vercingétorix à cheval, brandissant son épée, son destrier bondissant au-dessus d’un soldat romain à terre, symbolisant la résistance gauloise face à l’envahisseur romain.
Le piédestal en pierre de Volvic, conçu par l’architecte Jean Teillard, porte des inscriptions honorant le héros gaulois et commémorant l’inauguration du monument. Classée monument historique depuis 1994, cette statue est devenue un symbole fort de l’identité clermontoise .

La place Saint-Hérem, située au cœur du centre historique de Clermont-Ferrand, est un lieu emblématique chargé d’histoire et de culture.
Un site historique au cœur de la ville
Anciennement appelée « place Saint-Hérem », elle est aujourd’hui connue sous le nom de square Blaise-Pascal. Cette place se trouve à proximité immédiate de la cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption, au sein du quartier médiéval de Clermont. Elle est bordée par la rue Saint-Hérem, qui suit le tracé des anciens remparts médiévaux de la ville .
La statue de Blaise Pascal
En 1880, une statue en bronze de Blaise Pascal, réalisée par le sculpteur Eugène Guillaume, a été inaugurée sur cette place en présence des membres de l’Académie française. Le choix de l’orientation de la statue, tournée vers les volcans d’Auvergne, fait référence à l’expérience menée par Pascal sur la pression atmosphérique au sommet du puy de Dôme .
Un lieu de promenade et de mémoire
Aujourd’hui, le square Blaise-Pascal est un espace arboré et paisible, idéal pour une pause ou une promenade. Il offre une vue imprenable sur la cathédrale et constitue un point de départ privilégié pour explorer les ruelles médiévales environnantes, telles que la rue des Gras ou la rue Pascal.

Le square Blaise Pascal est un petit parc situé au cœur de Clermont-Ferrand, dans le quartier historique, à proximité de la rue Saint-Hérem. Il constitue un lieu paisible pour se détendre ou se promener. Le parc est accessible aux personnes à mobilité réduite et dispose d’aires de jeux pour enfants ainsi que de toilettes publiques
L’élément central du square est une statue en bronze de Blaise Pascal, natif de Clermont-Ferrand, réalisée par le sculpteur Eugène Guillaume en 1879 . Cette statue rend hommage au célèbre mathématicien, physicien et philosophe, connu notamment pour ses contributions aux sciences et à la pensée religieuse.

Origine géologique et formation
Ce pont naturel s’est formé grâce aux eaux riches en calcaire issues du maar de Jaude. En surface, ces eaux déposent progressivement du carbonate de calcium sur les objets qu’elles arrosent, un processus appelé pétrification. Au fil du temps, ces dépôts ont créé des structures naturelles impressionnantes, dont ce pont calcaire qui enjambe un petit cours d’eau.
Histoire et exploitation
Mentionnée dès 1575 par François de Belleforest, la fontaine pétrifiante a suscité l’intérêt de nombreuses personnalités, dont le roi Charles IX. À partir du XVIIIe siècle, le site est exploité pour ses propriétés pétrifiantes. Des objets, notamment des animaux naturalisés, y étaient placés pour être recouverts de calcaire, créant ainsi des souvenirs minéralisés prisés des visiteurs.
Au XIXe siècle, M. Clémentel développe un artisanat autour de ces pétrifications. Vers 1830, la propriété est divisée en deux : la fontaine des grottes du Pérou et celle du Pont naturel. En 1932, la famille Papon acquiert la partie des grottes du Pérou.

Voici une présentation des trois lieux emblématiques de Clermont-Ferrand : la Place de Jaude, le Théâtre (Opéra-Théâtre) et la Cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption.
La Place de Jaude
C’est le cœur battant de Clermont-Ferrand. Elle est à la fois un centre commercial, culturel et social.
- Histoire : Son nom vient du mot occitan « jauda » (friche). Ancien champ de foire, elle est devenue au fil du temps le centre névralgique de la ville.
- Aménagement : Elle a été totalement réaménagée dans les années 2000, avec un design moderne (fontaines, dalles de pierre, végétation, mobilier urbain).
Le Théâtre de Clermont-Ferrand (Opéra-Théâtre)
Situé en bordure de la place de Jaude.
- Style architectural : Bâtiment néo-classique, construit entre 1891 et 1894 par l’architecte Jean Teillard.
- Utilisation : Il accueille des représentations lyriques, du théâtre, des concerts et spectacles. C’est un lieu phare de la vie culturelle clermontoise.
- Particularités :
- Belle façade à colonnades.
- Salle à l’italienne à l’intérieur (style classique des théâtres européens).
- Il est géré aujourd’hui dans le cadre de la Comédie de Clermont-Ferrand, scène nationale.
La Cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption
Imposante et visible de loin, elle domine la ville depuis son promontoire volcanique.
- Caractéristiques :
- Construite en pierre de Volvic, noire et dense, qui lui donne sa couleur caractéristique.
- Style gothique (commencée au XIIIe siècle, achevée au XIXe par Viollet-le-Duc).
- Deux flèches de 108 mètres, visibles depuis toute la plaine de la Limagne.

L’église Saint-Joseph est un édifice catholique situé dans le quartier de la gare à Clermont-Ferrand. Construite entre 1883 et 1906, elle a été conçue par l’architecte Amable Barnier, sur un projet initial de Jean Teillard, et poursuivie par Adrien Mitton, son gendre .
L’église est un exemple remarquable de style néo-roman auvergnat, s’inspirant des églises romanes locales telles que Notre-Dame-du-Port et Saint-Austremoine d’Issoire . Elle est construite en arkose et en lave de Volvic, matériaux typiques de la région. La nef comprend cinq travées flanquées de deux bas-côtés, avec une voûte en plein cintre soutenue par une ossature métallique. La croisée du transept est surmontée d’une coupole sur trompes. Le chœur est entouré d’un déambulatoire et de cinq chapelles rayonnantes, dédiées à divers saints. L’église possède également une crypte, non accessible au public, similaire à celle de Notre-Dame-du-Port

Le bâtiment de la préfecture du Puy-de-Dôme, situé à Clermont-Ferrand, est un édifice emblématique de l’architecture néoclassique du début du XXe siècle. Voici un aperçu détaillé de son histoire, de son architecture et de ses éléments remarquables :
Historique
- Origines : Avant la construction de l’actuelle préfecture, les services départementaux étaient installés dans des locaux jugés insalubres. En 1910, le préfet Amand Élisée Becq souligne la nécessité de nouveaux locaux, évoquant la mort de 15 employés en 20 ans en raison des conditions déplorables.
- Concours architectural : Un concours est lancé en 1913, réservé aux architectes originaires du département. François Clermont, né en 1879 à Auzat-sur-Allier, remporte le concours.
- Construction : Les travaux débutent en mai 1914, mais sont interrompus par la Première Guerre mondiale. Ils reprennent ensuite, et l’édifice est inauguré le 7 juillet 1923 par le président Alexandre Millerand, à l’occasion du tricentenaire de la naissance de Blaise Pascal.
Architecture
- Style : L’édifice est de style néoclassique, caractérisé par sa symétrie, ses colonnes et ses éléments décoratifs inspirés de l’Antiquité.
- Matériaux : La façade est construite en pierre de Volvic, une roche volcanique sombre typique de la région, conférant au bâtiment une apparence majestueuse et imposante.
- Décorations : Le décor sculpté est l’œuvre de Paul Graf. L’ancienne salle du conseil général, située au premier étage, présente un ensemble décoratif complet dans un style néo-Renaissance, avec stucs, vitraux, luminaires et mobilier d’origine

La statue du général Desaix est l’un des monuments de Clermont-Ferrand, située à l’extrémité sud de la place de Jaude. Elle rend hommage à Louis Charles Antoine Desaix (1768–1800), général auvergnat mort à la bataille de Marengo et considéré comme l’un des plus brillants officiers de Napoléon Bonaparte .
Histoire et réalisation
La décision d’ériger une statue en l’honneur de Desaix fut prise en 1838 par le conseil général du Puy-de-Dôme. L’œuvre fut confiée au sculpteur Charles-François Lebœuf, dit Nanteuil. Achevée en 1844, la statue resta à Paris jusqu’à son installation à Clermont-Ferrand en 1848. Elle fut inaugurée le 13 août de cette même année, posée sur un socle provisoire en bois et en brique .
En 1903, un piédestal définitif en granit et marbre fut conçu par l’architecte Emmanuel Poncelet, à l’occasion de l’inauguration de la statue de Vercingétorix de Bartholdi, également située sur la place de Jaude .
Description de la statue
La statue en bronze représente le général Desaix en uniforme, coiffé d’un bicorne empanaché. Sa main gauche repose sur la garde de son épée, tandis que son bras droit est tendu en avant, le doigt pointé vers le sol. Cette posture symbolise la détermination et l’autorité du général .
Inscriptions sur le piédestal
Le piédestal porte plusieurs inscriptions :
- Face avant : « Au général Desaix »
- Face arrière : « Né à Ayat (Puy-de-Dôme) le 17 août 1768 – Mort à Marengo le 14 juin 1800 »
- Côté droit : « Wissembourg – Kehl – Lauterbourg »
- Côté gauche : « Bingen – Stokach – Marengo »

Au sommet de la cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption de Clermont-Ferrand se dresse une statue de la Vierge Marie, connue sous le nom de Notre-Dame du Retour. Cette statue, emblématique de la ville, est située au-dessus du chevet de l’édifice, sur un arbre de Jessé, et a été restaurée au XIXe siècle .
Origine et symbolique
La tradition mariale de la cathédrale remonte à l’an 946, lorsque l’évêque Étienne II fit ériger une statue-reliquaire de la Vierge en majesté, vêtue d’or. Cette œuvre, considérée comme l’archétype des Vierges romanes auvergnates, fut malheureusement détruite pendant la Révolution française . La statue actuelle perpétue cette dévotion mariale en surplombant la ville.
Accès et panorama
En période estivale, les visiteurs peuvent accéder à la balustrade du sommet de la cathédrale, offrant une vue imprenable sur Clermont-Ferrand et permettant d’admirer de près la statue de Notre-Dame du Retour .
Cette statue, au-delà de sa valeur artistique, incarne la protection et la bienveillance de la Vierge Marie sur la ville et ses habitants

Le tramway à traction électrique visible sur cette carte fait partie du réseau de tramways électriques de Clermont-Ferrand, mis en service à la fin du XIXe siècle. Voici ce que l’on peut en dire plus précisément :
Contexte historique
- Le réseau de tramways électriques de Clermont-Ferrand a été inauguré en 1890, ce qui en fait l’un des plus anciens réseaux électriques de France, et même le tout premier à traction électrique dans une ville moyenne française (après Clermont, d’autres villes ont suivi rapidement).
- Ce réseau était géré à l’origine par la Compagnie Générale des Omnibus Electriques.
- Il a desservi différentes lignes, dont celle entre Clermont-Ferrand et Royat, très fréquentée, notamment en raison des thermes de Royat, réputés à l’époque.

La basilique Notre-Dame-du-Port est un joyau de l’art roman auvergnat, située dans le quartier du Port à Clermont-Ferrand, entre la place Delille et la cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption. Son nom provient du latin portus, évoquant un ancien quartier marchand.
Histoire
Selon la tradition, une première église aurait été fondée au VIᵉ siècle par saint Avit, évêque de Clermont. Cette église primitive fut détruite à plusieurs reprises, notamment lors des invasions normandes, avant d’être reconstruite au XIIᵉ siècle dans le style roman. Devenue collégiale, elle fut desservie par des chanoines jusqu’à la Révolution française. En 1881, le pape Léon XIII l’éleva au rang de basilique mineure. Elle fut classée monument historique dès 1840 et inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1998 au titre des Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France .
Architecture
Construite en arkose blonde, une pierre extraite des carrières de Montpeyroux, la basilique se distingue par son chevet pyramidal orné de rosaces, son portail sculpté et ses plus de 250 chapiteaux romans aux décors remarquables . L’intérieur présente une nef majestueuse, un chœur surélevé entouré d’un déambulatoire et de chapelles rayonnantes, ainsi qu’une crypte abritant une statue de la Vierge noire, associée à une source considérée comme miraculeuse .

La nef de la basilique Notre-Dame-du-Port à Clermont-Ferrand est un exemple remarquable de l’architecture romane auvergnate, alliant sobriété et ingéniosité technique.
Caractéristiques architecturales
- Plan et dimensions : La basilique adopte un plan en croix latine, avec une nef centrale flanquée de deux bas-côtés. La nef s’élève à 18 mètres de hauteur, tandis que la longueur totale de l’édifice atteint 45 mètres.
- Voûte : La nef est couverte d’une voûte en berceau lisse, sans arcs de renfort apparents, ce qui confère à l’espace une grande unité et une impression de légèreté.
- Élévation : Les grandes arcades en plein cintre reposent sur des piliers massifs, supportant des tribunes voûtées en demi-berceau au-dessus des bas-côtés. Cette disposition contribue à la stabilité de l’ensemble et permet une diffusion harmonieuse de la lumière naturelle.
- Matériaux : L’édifice est construit en arkose blonde, une pierre locale, rehaussée par des éléments décoratifs en pierre de lave, notamment dans les mosaïques du chevet.
Décor sculpté
Les chapiteaux des colonnes sont ornés de sculptures finement exécutées, représentant des scènes bibliques, des motifs végétaux et des figures symboliques. Ces éléments témoignent de la maîtrise des artisans de l’époque et de la richesse iconographique de l’art roman.

Le nom « rue des Gras » provient de l’occitan la chareira de los Gras, où gras signifie « marches ». Ce terme fait référence aux escaliers qui jalonnaient autrefois la montée vers le parvis de la cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption. Cette rue suit le tracé du decumanus maximus de la cité romaine d’Augustonemetum, reliant le forum (actuelle place de la Victoire) à l’ouest de la ville. Elle était également bordée d’un aqueduc, détruit lors de la construction de la première cathédrale par l’évêque Namatius.
Au Moyen Âge, la rue des Gras servait de frontière entre les paroisses de Saint-Pierre et de Saint-Genès. Elle accueillait des marchés et était traversée par une porte fortifiée, la « Porte des Gras », marquant l’entrée ouest de la ville. Cette porte jouait un rôle symbolique lors des cérémonies d’intronisation des évêques de Clermont aux XVIe et XVIIe siècles.

Érigée entre 1511 et 1515, la fontaine doit son nom à Jacques d’Amboise, évêque de Clermont de 1505 à 1516 et frère du cardinal Georges d’Amboise. Grand amateur d’art de la Renaissance italienne, Jacques d’Amboise fit appel au sculpteur Chapart pour réaliser cette œuvre en pierre de Volvic, matériau emblématique de la région. À l’origine, la fontaine était située devant le palais épiscopal, place Derrière-Clermont (actuelle place de la Victoire), et servait à l’approvisionnement en eau des habitants grâce à un système de tuyaux d’argile acheminant l’eau depuis une source à Royat.
La fontaine d’Amboise est une œuvre de transition entre le gothique et la Renaissance. Sa structure présente des arcs-boutants caractéristiques du style gothique, tandis que son décor sculpté est typiquement Renaissance, avec des éléments tels que des rinceaux, des masques et des grotesques d’inspiration italienne. Elle est constituée de trois niveaux de bassins superposés, ornés de figures sculptées (visages, gueules de poissons) d’où l’eau s’écoule en minces filets. Au sommet trône une statue d’un homme sauvage, barbu et moustachu, couvert d’une toison et armé d’une massue, tenant un écu aux armes de la famille d’Amboise.

Le Quartier Général du 13e Corps d’Armée à Clermont-Ferrand, situé au 4 cours Sablon, a joué un rôle central dans l’histoire militaire de la région Auvergne. Implanté après la défaite de 1870, il a été le siège du commandement du 13e Corps d’Armée et de la 13e région militaire. Le bâtiment, riche en symboles militaires tels que des canons sculptés et des boulets empilés, témoigne de son passé prestigieux. Au fil des années, il a accueilli diverses unités, dont l’école d’artillerie créée en 1881, et a vu défiler des figures militaires notables, comme le général de Lattre de Tassigny qui y commanda les troupes de la 13e région militaire pendant 13 mois en 1940-1941.

La place de Jaude est le cœur historique, culturel et commercial de Clermont-Ferrand, offrant un panorama vivant de l’évolution urbaine de la ville.
Occupée dès l’époque romaine, la place de Jaude était un quartier public et marchand, comme l’ont révélé des fouilles archéologiques menées lors de divers aménagements urbains. Au Moyen Âge, elle devint une zone marécageuse peu construite, avant de se transformer en foirail au XVIIIe siècle. Son nom provient probablement du quartier gallo-romain « Galate », évoluant phonétiquement en « Galde », puis « Jalde », et enfin « Jaude »
Monuments et bâtiments emblématiques
- Statue de Vercingétorix : Œuvre de Frédéric Auguste Bartholdi (également sculpteur de la Statue de la Liberté), cette statue équestre de 1903 rend hommage au chef gaulois victorieux à Gergovie .
- Statue du général Desaix : Inaugurée en 1848, elle honore le général clermontois mort à la bataille de Marengo. L’ensemble est inscrit aux monuments historiques depuis 1992 .
- Église Saint-Pierre-des-Minimes : Construite en 1630 dans un style jésuite, elle est surmontée d’un dôme ajouté au XIXe siècle .
- Opéra-Théâtre : Édifié en 1894 sur l’emplacement d’une ancienne halle aux toiles, il témoigne de l’essor culturel de la ville à la fin du XIXe siècle .
- Galeries de Jaude : Ce grand magasin, inspiré des exemples parisiens, date du début du XXe siècle et est devenu un symbole du commerce clermontois .